Une idée qui vous rendra riche

MilkBrickRegardez autour de vous. Tout ce que vous utilisez (ou pouvez acheter)  possède un point commun : il a fallu quelqu’un pour les inventer !

Les destins de nombreux anonymes ont ainsi basculé pour le meilleur après avoir pris les devants suite à une idée ingénieuse ou originale.

Le plus souvent, vous ne devez pas être ingénieur pour pouvoir « inventer » quelque chose. Il vous suffit d’identifier un problème et de concevoir une solution adaptée. Faciliter la vie de ses contemporains est ce qu’il y a de plus rentable en terme de création.

Ceci dit, les solutions ne sont pas toujours évidente à trouver. Un exemple tout bête est l’utilisation des briques TetraPack, comme les briques de lait ou de jus de fruit. Impossible de ne pas en renverser lors de la première utilisation (ou alors c’est moi qui suis VRAIMENT noeud-noeud, voire un brin gogol !).

Si vous vous penchiez sur la question et trouviez un système d’ouverture-fermeture facile, fiable et « propre », cela pourrait bien faire votre fortune.

Votre meilleur atout pour devenir riche, c’est votre cerveau. Faites le tourner à plein régime et amusez-vous à repérer ce qui pourrait être amélioré.

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15 Responses to “Une idée qui vous rendra riche”

  1. alteriche dit :

    Non, non, nous sommes 2 gogols le matin!! 😉

    Ceci étant, les foires sont pleines d’inventeurs géniaux dont les inventions restent pour la plupart à ce stade.
    Avoir une idée de ce type demande un prototype, un dépôt de brevet (voire d’une ribambelle, notamment au niveau international).

    Il est plus facile de faire un me-too.
    Mais une piste intéressante serait justement de courir ces lieux d’exposition des inventeurs, de voir où va leur créativité, comment elle s’exprime, de discuter avec eux des difficultés qu’ils ont (à moins qu’ils ne fassent ça que pour « la beauté de l’Art »). Et pourquoi pas de mettre son talent commercial à leur service.

    • MaxR dit :

      Bonjour Fred,
      En effet, les foires et autres salons des inventions regorgent de créativité. J’ai eu l’occasion d’aller dans plusieurs de ces salons et il y a toujours des surprises.
      De mon côté, j’ai beaucoup d’idées aussi et je m’étais déjà renseigné sur les différentes démarches pour arriver jusqu’à la commercialisation. En fait, ce n’est pas facile du tout !
      Certains inventeurs écrivent même que ce parcours du combattant n’en vaut pas souvent la peine puisqu’il faut des fonds énormes pour assurer la production du prototype.

      Le prix de la création du moule dans lequel on va fondre la matière plastique pour lui donner la forme souhaitée est exorbitante (plusieurs dizaines de milliers d’euros selon les pièces (taille et complexité)). En considérant qu’il faut souvent plusieurs moules pour un seul objet, on comprend qu’il faille des fonds importants pour démarrer. Qui plus est, ces moules doivent être amortis sur des quantités énormes. La production de masse s’impose donc tout de suite dans la plupart des cas.

      Donc le côté commercial, oui. Mais le soucis majeur, c’est de trouver les fonds nécessaires pour produire en masse, et antérieurement, c’est de SURTOUT faire une étude de marché impeccable, car l’erreur coûte tout de suite des fortunes (souvent privées d’ailleurs, puisque certains inventeurs aveuglés par l’amour pour leur produit investissent avec leurs propres économies!)

  2. alteriche dit :

    Oui, et je pense que le premier investissement, c’est la propriété intellectuelle, donc le brevetage: ce serait ballot (!) de dépenser autant de pognon pour la mise en route d’un proto et se faire piquer l’idée par un groupe peu scrupuleux (mais argenté) au moment de l’industrialisation…

    • MaxR dit :

      En effet. Protéger son idée ne coûte pas cher en rapport de ce qu’elle peut rapporter.

      Cela me rappelle une fois, dans un salon de l’invention, j’avais vu 2 juifs (très visibles puisqu’ils étaient habillés de manière traditionnelle) qui visitaient chaque inventeur dans le but d’acheter leur invention. Je les avaient repérés plus d’une fois en train de faire signer des documents contre une remise de chèque.
      C’est donc peut-être ça la bonne idée avant d’essayer de commercialiser le produit … s’en octroyer la propriété intellectuelle !

      J’imagine que même si seulement une invention sur 100 devaient se voir commercialisée, je jeu devait en valoir la chandelle. Qui plus est, un juif qui ne s’y connaît pas en affaires, c’est extrêmement rare. Toujours s’inspirer des meilleurs, quel que soit le domaine.

  3. oummeriam dit :

    « Qui plus est, un juif qui ne s’y connaît pas en affaires, c’est extrêmement rare » c’est un cliché..

    • MaxR dit :

      Oui, bien sûr. C’est un cliché …
      Mais je parle aussi d’expériences personnelles car j’ai eu le plaisir d’avoir des patrons juifs, et je dois dire que travailler pour eux fut la meilleure école des affaires qu’il m’ait été donné de suivre. Leurs approches des affaires, leurs modes de raisonnement, leurs intelligences m’a toujours laissé très humble. Ce sont sans doute ces rencontres qui ont forgé mon point de vue, d’où peut-être ce cliché …

  4. Jul dit :

    L’idée de création d’un produit ou service arrive toute seule.

    Une idée toute simple, j’emprunte le métro et RER de Paris tous les jours et je lis les quotidiens gratuits (20 minutes, Direct Matin, Metro). Une fois lu, je dépose le journal sur un siège de libre. Quelques secondes/minutes après, un autre usager récupère le journal et le lit à son tour. Il arrive, indépendamment de ma volonté que le quotidien se retrouve par terre. Si la situation se présente devant moi, je le ramasse, sinon, je ne peux rien faire !

    Or la RATP/SNCF investissent des sommes astronomiques pour faire des campagnes de pubs visant à ce que les usagers jettent les journaux dans les poubelles. Personnellement je préfère qu’une autre personne (voire plusieurs autres personnes) lise(nt) le journal plutôt que de le jeter. De cette façon ça permet de partager et de contribuer à une économie de papier…

    L’idéal serait de créer un petit espace dans le train où chacun pourrait déposer son journal après l’avoir lu. De cette façon, il ne tomberait plus par terre et tout le monde serait content 🙂

  5. Franck des Daubasses dit :

    @Jul : les économies de papiers dans une mouvance écolo « holala, il a imprimé des e-mails, c’est pas bien : ça tue les arbres d’Amazonie »… C’est un raisonnement facile, mais d’une puérilité extrême.

    Il faut savoir que tous les papiers sont issus de pâte à papier eux-même issus d’arbres bien spécifiques (résineux, eucalyptus et peupliers) qui sont élevés dans des forêts dans le but de faire du papier. Il s’agit d’une gestion rigoureuse de forêt dans une perspective durable : vous connaissez un propriétaire de forêt qui va couper tous ses arbres en une saison et crever la dalle pendant 20 ans le temps que d’autres arbres repoussent ? En fait, à chaque coupe, il y a des plantations et tout ceci est fait dans une cyclicité naturelle pour avoir toujours plus ou moins la même capacité à extraire du bois.

    En fait, il faudrait mieux éviter d’acheter de jolis meubles en accajou dans lesquels les occidentaux aiment s’affaisser pour lire leur journal en papier recyclé, la conscience tranquille. C’est bien ce bois précieux qui vient souvent de coupe illégale et qui détruisent les forêts amazonienne – entre autres.

    Enfin, plus que la quantité de papier (celui-ci étant recyclable et donc réemployable et essentiellement issu de forêt qui respectent l’environnement), le consommateur qui se dit éco-responsable doit davantage attacher de l’importance aux labels de gestion durable des forêts et sur la non-utilisation de produits chimiques nocifs et ayant un impact fort sur l’environnement (vernis, encres, papier recyclé ou non, …).

    à+
    Franck

  6. C’est très facile de dire: »Faites-le tourner à plein régime et amusez-vous à repérer ce qui pourrait être amélioré ». A croire que tout le monde peut devenir inventeur ou avoir une idée de génie: si c’était le cas, ça se saurait! Dans les foires justement, la plupart des inventions ne sont jamais commercialisées parce qu’elles ne sont pas aussi utiles qu’on pourrait s’y attendre; il y a souvent quelque chose qui cloche. Sur 100 idées géniales, une seule l’est vraiment et encore…Alors, n’allez pas croire que c’est aussi facile d’inventer quelque chose qui soit, à la fois, pratique et utile.

    • MaxR dit :

      Bonjour Kader,

      Merci pour ce commentaire pertinent. En effet, seulement une fraction des inventions connaîtront un avenir commercial.

      Un des plus grand problème en la matière est le fait que l’inventeur est aveuglé par le côté « génial » de son invention. Il n’a donc aucun recul et laisse son imagination s’emballer en pensant que le monde entier va s’arracher son invention. En marketing, c’est la fameuse histoire du ‘Best Mouse Trap in the World’.

      Ceci dit, il faut réaliser une chose. Tout ce que tu peux acheter a forcément été inventé. Et il ne faudrait pas croire que ces inventions l’ont été par des génies. Les meilleures inventions sont souvent créées par des gens normaux qui ont des « coups de génie ». Cela peut donc donner espoir à ceux qui pensent qu’inventer n’est que pour les autres.

      Tu pourrais fort bien être le prochain milliardaire si c’est toi qui invente un objet, un service, une application pour iPhone ou un nouveau style de site internet. 🙂

      La clé, c’est de garder un esprit ouvert et d’être attentif à tout ce qui peut être modifié, amélioré, ou simplement rendre la vie de nos contemporains plus facile à vivre.

  7. nom? dit :

    Pas trop besoin de se casser la tête et se fumer le cerveau à chercher quelque chose, l’idée vient par elle même !

  8. Martin dit :

    Je trouve que je développe mes meilleurs idées lors de footing ou lorsque je fais du sport… Mais pour en revenir à nos moutons, j’étudie actuellement un cours de New Product Development et je me rends compte qu’inventer un produit ou un concept n’est pas tout, il est autant voir plus important de bien comprendre le process pour le lancer avec succès, ce qui implique notamment des compétences marketing, comptable, logistiques…

    Cordialement

  9. chaft dit :

    salut
    un petit conseil pour tout inventeur : ne cherchez pas à vous casser la tête pour une grande invention ,commencez par une petite invention que vous pourriez se faire fabriquer et pouvoir le vendre sois même par un site internet.
    mon cas(www.evitms.com) est un exemple parmi d’autres.
    bonne chance à tous.